Aérodrome – Melun Villaroche
5 et 6 septembre 2026

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BIENVENUE A AIR LEGEND


Retrouvez la magie des avions d’exception !

UN RENDEZ-VOUS INCONTOURNABLE !

Air Legend revient à Melun-Villaroche pour une nouvelle édition qui promet d’en mettre plein les yeux. Comme chaque année, le meeting rassemble des avions de légende, des démonstrations aériennes spectaculaires et une ambiance unique où passionnés, curieux et familles se retrouvent pour vivre une vraie parenthèse hors du temps.

Entre warbirds iconiques, appareils modernes, animations au sol et rencontres avec les équipes, l’événement offre une immersion complète dans l’histoire et l’avenir de l’aviation. Que l’on vienne pour admirer les performances en vol, pour approcher des machines rares ou simplement pour passer une journée mémorable, Air Legend reste un rendez-vous incontournable.

On vous attend à Melun-Villaroche pour partager ensemble cette passion du ciel.

L’HISTOIRE PRESTIGIEUSE DE PARIS-VILLAROCHE

Du champ d’aviation à la base d’essais en vol

Situé à 40 km au sud-est de Paris, au cœur des plaines de la Brie, l’aérodrome de Paris-Villaroche est une ancienne base d’essais en vol.

Le terrain a été successivement occupé par les armées françaises, allemandes et américaines.

Après le conflit, la Snecma s’est implantée en bordure des pistes tandis que Dassault Aviation y essayait ses avions Ouragan, Mystère, Mirage, Balzac, etc.

D’autres avionneurs y assemblent leurs nouveaux appareils comme Breguet Aviation, René Hirsch, René Leduc, Morane-Saulnier, ou encore Potez Aviation, la SNCAN et la SNCASO.

Fin 1946, l’aérodrome bénéficiera de la construction de bâtiments et de hangars au nord des pistes puis de la tour de contrôle. En décembre 1947, cet aérodrome recevra les essais en vol de la Snecma – Safran Aircraft Engines aujourd’hui – basés auparavant sur l’aérodrome de Vélizy-Villacoublay. La division moteurs du groupe Safran y écrit aussi des pages de l’aéronautique en y assemblant des propulseurs militaires comme le M53 (Mirage 2000) ou le M88 (Rafale) mais aussi la gamme des réacteurs civils CFM et Leap, les moteurs les plus produits dans le monde, équipant entre autres les Airbus A320 et les Boeing 737.

Le 28 février 1948, le colonel Constantin Rozanoff ouvrira la voie de l’aérodrome aux avions à réaction en décollant pour son premier vol d’essai, un Dassault Ouragan équipé de moteurs Rolls-Royce Nene. Il trouvera malheureusement la mort le 3 avril 1954 lors de la présentation d’un Mystère IV à la suite d’une défaillance des commandes de vol.

Dans les années 1980, les pistes, larges de 60 mètres et longues de 2 800 mètres (aujourd’hui 1 972 m) pour celle orientée est-ouest et 2 400 mètres (aujourd’hui 1 300 m) pour celle orientée nord-sud, permettent l’atterrissage d’avions dont la masse à l’atterrissage est de 60 tonnes.

Cet aérodrome longtemps placé sous l’autorité de la Direction générale de l’armement (DGA), dépendant du ministère de la Défense, passera en janvier 1982 sous responsabilité du ministère des Transports.

Les essais en vol avaient migré à Brétigny puis à Istres et à Cazaux pour s’affranchir des contraintes de la circulation aérienne en région parisienne.

AUJOURD’HUI

Melun-Villaroche demeure un centre aéronautique important

Depuis 2014 le pôle se tourne vers le développement de l’aviation civile. Transféré en 2007 par l’État au SYMPAV (Syndicat mixte du pôle d’activités de Villaroche), l’aérodrome est utilisé par un centre de l’École nationale de l’aviation civile (ENAC), l’aéro-club « Constantin Rozanoff », la compagnie de travail aérien Aéro-Sotravia, et les ateliers de maintenance et de peinture d’avions Aéropale.

L’aérodrome développe actuellement son offre dans le secteur de l’aviation d’affaires. Il est envisagé d’accueillir cinquante avions d’affaires par mois en moyenne d’ici un à deux ans. Depuis avril 2013, une société de « handling » (accueil et assistance aéroportuaires) Elyxan, y est installée et un hangar chauffé de 2 400 m2 peut accueillir une dizaine de jets.

Ici se côtoient passé, présent et futur

Plusieurs associations assurant la conservation, maintenance et le maintien en vol d’avions de collection sont aussi basées sur l’aérodrome : l’AMPAA, Un Dakota sur la Normandie, le Cercle de Chasse de Nangis et French Flying Warbirds.

Le Groupe Safran y exploite un de ses principaux sites. Sa division moteurs y assemble des propulseurs militaires et la gamme des réacteurs civils CFM et Leap, les moteurs les plus produits dans le monde qui équipent entre autres les Airbus A320 et les Boeing 737.

Melun-Villaroche demeure un centre aéronautique important

Depuis 2014 le pôle se tourne vers le développement de l’aviation civile. Transféré en 2007 par l’État au SYMPAV (Syndicat mixte du pôle d’activités de Villaroche), l’aérodrome est utilisé par un centre de l’École nationale de l’aviation civile (ENAC), l’aéro-club « Constantin Rozanoff », la compagnie de travail aérien Aéro-Sotravia, et les ateliers de maintenance et de peinture d’avions Aéropale.

L’aérodrome développe actuellement son offre dans le secteur de l’aviation d’affaires. Il est envisagé d’accueillir cinquante avions d’affaires par mois en moyenne d’ici un à deux ans. Depuis avril 2013, une société de « handling » (accueil et assistance aéroportuaires) Elyxan, y est installée et un hangar chauffé de 2 400 m2 peut accueillir une dizaine de jets.